9 janvier 1998
Mon grand chêne
Tu n’as perdu que tes feuilles
Mon grand chêne
Le printemps me ramènera ta sève, ta vie
Je me plais à croire que tu n’es qu’en sommeil
Tu t’es assoupi lorsque les feuilles sont tombées
Te réveilleras tu lorsque les jonquilles et les iris renaîtront ?
Ou bien préfèreras tu hiberner loin de ce monde de fou
Attendant l’heure de nos retrouvailles
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